14 septembre 2012
appétence et distraction
Heureusement que j'ai survolé Les Pensées de Pascal il y a quelques vingt-trois ou vingt-quatre ans. Cette fameuse distraction pascalienne. Le père a perdu son fils, il va à la chasse, et le sentiment de bonheur pourtant fugace l'emporte sur la peine bien plus lourde. Ai-je rêvé cette lecture ?
Je sais que vivre est plus riche que ce qu'on en perçoit et que les transports en valent toujours la peine. Mais des fois je l'oublie, je n'y parviens plus à avoir cette confiance, cette appétence nécessaire.
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