vie au ralenti
Les rêves encore dévorants, une espèce de course, d'une poursuite jusqu'au réveil, incapable d'en retranscrire le sens...
La barre au milieu du front est un peu moins épaisse mais la gorge plus en feu.
Hier soir, j'ai regardé pour la septième fois La Belle histoire de Claude Lelouch. A moitié comateux, chaud froid chaud, je regardais toutes ces personnes s'agiter, et pour la première fois, je pensais à un bollywood. Lelouch est l'indien du cinéma français finalement, ces zooms, cette façon alerte de filmer, la musique... ne manquerait que les danses...
Ce soir, je saute une réunion, bien trop dur de me présenter dans cet état... A la place, je me rends chez le notaire...
Et un petit film pour m'endormir ce soir, vivement que cet état semi-fiévreux se dissipe...