14 décembre 2013
luxure molle -le temps du mou
Je lis ça, Ô luxure ou La maison des boudhas bienheureux de Joao Ubaldo Ribeiro (excusez l'accent disparu), d'un ennui profond, mais je continue...
Je n'avais pas vu le détail de la couverture, le titre et la collection l'avaient déjà emporté...
Quel ennui juste après l'excellent Le Coupeur de roseaux de Tanizaki Junichirô ! (et après une trentaine de bandes dessinées en vrac) (ma fille me disait : combien lis-tu de livres en même temps ? J'hésitais, répondis trois, pensais douze)
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