21 juillet 2015
à la gorge
Vertigineux film, étouffant, libératoire, crispant, lent, magique que Fanny et Alexandre... Bref, Bergman. Cela faisait peut-être vingt ans que je ne l'avais pas revu. L'émotion était différente, plus pleine et en même temps plus distanciée, je ne sais pas exactement. Les forces en présence m'ont déstabilisé davantage pourtant. Je comprends mieux le travail d'Arnaud Desplechin, je ne sais pas pourquoi j'ai pensé à Esther Kahn, à revoir pour comprendre... Retour d'un souvenir d'ambiance d'Opening night aussi de John Cassavetes. Et L'incompris de Luigi Commencini.
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