23 juillet 2015
livres dépotés
Fini de relire La Faim de Knut Hamsun. Fou ! Chacune des pensées si humaine, déraisonnable, désespérante et pleine d'espoir ! Demain, je le prête à mon infirmière, je ne sais quelle tête elle fera !
Sur ma table dépotoir de l'homme immobilisé, je jette un oeil sur un fascicule d'Eluard publié en 1948...
« Ouvrir les portes de la nuit, autant rêver d'ouvrir les portes de la mer, le flot effacerait l'audacieux. »
(je découvre sur internet que cela renvoie au film de Carné et Prévert...)
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