4 avril 2016
recueil : "en mí duras y en mí te desvaneces", 2 : chemins ouverts
je verrais les chemins que j'ai ouverts
le ciel immense qui riait de mes foulées
mon coeur qui tapait dans la montagne
au centre des trois quilles
les chiens qui grognaient à mes chevilles
les chevaux qui cabraient au lacet de la forêt
les rivières à sec au plus tôt de l'été
si j'y retournais
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