18 septembre 2019
Walser encore
Leurre
A nouveau lasses, les mains,
à nouveau lasses, les jambes,
obscurité sans fin,
je ris si fort que les murs
pivotent mais c’est un leurre
et je mens, car je pleure.
Trug
Nun wieder müde Hände,
nun wieder müde Beine,
ein Dunkel ohne Ende,
ich lache, daß die Wände
sich drehen, doch dies eine
ist Lüge, denn ich weine.
Publicité
Publicité
Commentaires