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Sine linea
8 mai 2016

mots méprisés

"Lorsque vous susciterez chez les autres un mélange de pitié effrayée et de mépris, vous saurez que vous êtes sur la bonne voie. Vous pourrez commencer à écrire." Michel Houellebecq. (après tout ce que j'ai égratigné l'écrivain, une petite citation, ça...
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7 mai 2016

trahison à bout de souffle

Les Amants de Caracas de Lorenzo Vigas , un film où le spectateur doit se construire l'histoire, rien n'est dit, tout en ellipse, dérangeant, lent, hypnotique ! A la bande-annonce, j'étais parti sur tout à fait autre chose !
5 mai 2016

écrire dans le bain comme Dalton !

écrire dans le bain comme Dalton !
Très beau film, ne boudons pas les biopics ! Académique ? Et alors ? Malin, dynamique, très bien écrit, intelligent, frais, joué, enjoué, le Dalton Trumbo de Jay Roach ! image tirée de L'Express
2 mai 2016

Théo et Hugo dans le même bateau d'Olivier Ducastel et Jacques Martineau : des baiseries mécaniques à l'émergence de l'amour

A la projection de Théo et Hugo dans le même bateau d'Olivier Ducastel et Jacques Martineau hier soir, en présence des deux réalisateurs, à l'ABC. Moments beaux et en même temps étranges. Les débats étaient trop laudateurs pour que je puisse émettre une...
19 avril 2016

toujours à l'écran

toujours à l'écran
Elle est morte trop tôt ! Quand vous la voyez à l'écran, c'est l'énergie, la vie qui coule en elle ! Finalement, elle n'est pas partie, la grande Ronit Elkabetz !
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15 avril 2016

death's feather (la plume de la mort)

Neither by night’s ancient fear, The parting of hat from hair, Pursed lips at the receiver, Shall I fall to death’s feather. D. T.
14 avril 2016

vert et mourant

Dylan Thomas traduit sur Esprits nomades : Le temps me maintient, encore vert et mourant, Bien que je chantais encore dans mes chaînes comme la mer. Dont voici le texte original : Time held me green and dying Though I sang in my chains like the sea.
4 avril 2016

bel André

Quand on a 17 ans , d'André Téchiné, tout un poème, beau ! Pensé aux Roseaux sauvages , mais différemment beau, même fraîcheur mais plus serré, centré. Et J'embrasse pas aussi. Délicatesse tout le long, pointilliste.
4 avril 2016

"en moi tu dures et en moi disparais"

Ces petits poèmes qui poussent, que j'espère simples et sensibles, à partir de tout ce qui me reste au coeur et de la lecture par hasard du poème d'Octavio Paz, lu sur le site dont j'ai déjà bien dû parler par ici, poezibao, et en écoutant Wayne Shorter...
3 avril 2016

la nudité d'écrire

Découvert donc, sur Analogos... Dires Dires 244 d’habiller la nudité d’écrire j’ai brûlé mon flambeau 1er septembre 2015 Francis Royo
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