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Sine linea
4 décembre 2012

cadavre en sursis

je vais te tordre en mes mains pauvres mais brûlées et vieillies à ton contact d'un coup je dois te lâcher vite je vois mes os qui percent te lâcher je le savais ma petite succube à vouloir te serrer je le savais ma peau en lambeaux tu ris tu ris et mon...
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3 décembre 2012

la fin du poème à venir

Plus que quatre extraits du poème fleuve de Pessoa, quel dommage, tout a une fin, comme il le dit lui-même dans l'extrait du jour... Il mourra, et je mourrai. Il laissera son enseigne, et moi des vers. A un moment donné mourra également l'enseigne, et...
3 décembre 2012

jours qui gluent

Perdu dans les jours qui gluent, entre les banque, collège, notaire, pianiste, supermarché, les supermarchés ! C'est de loin là où je passe le plus de temps après la voiture ! S'acheter de quoi tenir cinq jours avec vingt euros, c'est prenant ! Tous les...
3 décembre 2012

Bureau de Tabac (14) Pessoa

Mais le patron du Bureau de Tabac est arrivé à la porte, et à la porte il s'est arrêté. Je le regarde avec le malaise d'un demi-torticolis et avec le malaise d'une âme brumeuse à demi. Il mourra, et je mourrai. Il laissera son enseigne, et moi des vers....
2 décembre 2012

des équilibres

Des mots pour cacher les désirs, des désirs pour enfouir les mots.
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2 décembre 2012

lourdeur et sommeil

Perdu La Traviata que je devais rendre à la médiathèque hier, encore un petit sujet d'énervement ! Mais rien qui ne devrait m'empêcher trop de dormir, vu ma fatigue lourde, lourde, lourde !
2 décembre 2012

du partage à venir

Fini de taper une texte, celui qui sera sûrement le mien du troisième partage d'écriture du blog. C'était un peu facile, reprendre une nouvelle déjà rédigée et la commenter... Mais enfin...
2 décembre 2012

Bureau de Tabac (13) Pessoa

Essence musicale de mes vers inutiles, qui me donnera de te trouver comme chose par moi créée, sans rester éternellement face au Bureau de Tabac d'en face, foulant aux pieds la conscience d'exister, comme un tapis où s'empêtre un ivrogne, comme un paillasson...
1 décembre 2012

attendre sans attendre

Piocher dans les textes des autres plutôt que dans sa tête, c'est plus simple et moins profond. Attendre tranquillement, mais pas trop, tout remontera à temps, de toute façon. La panique nous bloque dans le retour des mots, tout comme la trop grande confiance...
1 décembre 2012

masque non ôté

J'étais ivre, je ne savais plus remettre le masque que je n'avais pas ôté.
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