9 novembre 2011
faconde et musardise
Et de penser du même coup à deux vers traduits de Walt Whitman, dans Chant de moi-même , 1855 : Je m'éloigne comme l'air, je secoue ma chevelure blanche au soleil enfui, Je verse ma chair dans les remous, et l'entraîne en crêtes dentelées. Et que dire...