27 septembre 2011
insomnie 28
poésie plate
réveillé quatre heures noir complet taper les coussins pour y pénétrer retourner de force dans l'oubli du sommeil on ne force rien tout nous repousse dans cette réalité l'alcool non plus ne peut rien pas d'oubli les yeux maintenus sur cette vie sans fuite jusques aux bouts
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