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Sine linea
19 février 2012

quelles pertes

     Dans cette respiration, cette attente du retour des mots, je lis ceux des autres, beaucoup, trois à quatre bd par jour, et deux films quotidiennement. J'en ai assez d'en rédiger des billets insignifiants.

     Que restera-t-il de ce blog sans mots de moi ni des autres ? Le plaisir d'échanger, la surprise d'être abandonné par ma compagne, l'incompréhension, les pleurs, la colère, les lectures apaisantes, boulimiques et maintenant le rien, miroir du néant intérieur, quelles pertes...

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Commentaires
C
ni l'un, ni l'autre, <br /> <br /> lu Romanee-Conti 1935 : Takeshi Kaiko<br /> <br /> http://www.plathey.net/livres/japon/kaiko.html<br /> <br /> bois du Bordeaux modérément,<br /> <br /> que du Bon en vin comme en mots...<br /> <br /> Christine
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H
Ah le vin de la vie ! Avez-vous lu Mario Rigoni Stern ou êtes-vous oenologue ?
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C
oui, la distance pas facile, <br /> <br /> prendre la hauteur suffisante, <br /> <br /> respirer surtout respirer...<br /> <br /> et l’âpreté de ses tanins sur la langue.
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H
Pour la dérision, il faut retrouver la distance. Pour le dépôt, je pense que la vie laisse malgré nous comme une robe pour le vin.
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C
je découvre votre blog , le lis à petits pas, besoin de temps<br /> <br /> <br /> <br /> il reste toujours un dépôt au fond de soi<br /> <br /> si<br /> <br /> on donne aux mots, à la vie<br /> <br /> la dérision suffisante<br /> <br /> pour qu'ils soient<br /> <br /> supportables<br /> <br /> Christine
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Sine linea
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