27 septembre 2014
créer mange
Au sortir de Saint Laurent de Bertrand Bonello, comme au sortir de La Grande Bellezza de Paolo Sorrentino, touché par la création, envie d'écrire ! Sortant du film Hannah Arendt de Margarethe Von Trotta, ou de celui d'Arnaud Desplechin, Jimmy P., c'était différent, envie de lire alors !
Hier, donc, après le film, grande envie d'écrire muée en rien, avec en tête, en ritournelle les vers de Georges Brassens, enfin de Louis Aragon :
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
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